Contexte de l'affaire
Un salarié est engagé le 24 août 2006 en qualité d'adjoint de direction, promu directeur de magasin le 2 mars 2007.
Le salarié est en arrêt de travail pour maladie du 3 août 2009 au 30 juin 2010, sans reprendre son travail après cette date, ni répondre aux lettres recommandées avec avis de réception adressées par l'employeur les 15 et 26 juillet 2010.
Finalement, l’employeur procède à son licenciement pour faute grave le 27 août 2010, considérant en l’espèce que le comportement du salarié s’analyse en un réel « abandon de poste ».
Mais le salarié n’est pas d’accord avec cette rupture et saisit la juridiction prud'homale.
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