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Les travaux hyperbares exécutés sans immersion sont pratiqués en respirant de l’air comprimé, un autre mélange gazeux respiratoire ou de l’oxygène pur.
L’employeur détermine la nature et la composition des gaz respiratoires utilisés en tenant compte des contraintes environnementales et des variations de la pression ambiante.
Au-delà de 5 000 hectopascals de pression relative, un mélange gazeux respiratoire autre que l’air est à privilégier.
L’employeur doit s’assurer que la qualité des gaz respiratoires utilisés pour la réalisation de travaux hyperbares permet de respecter les valeurs limites d’exposition professionnelle.
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